Spiritualité
AUGMENTER SA FOI COMME UN DJINN
Nous avons vu que les djinns peuvent augmenter leur foi instantanément, sortir toutes mauvaises choses du cœur comme l’orgueil ou l’amour des créatures. Nous avons trouvé par la grâce d’Alah un premier moyen pour que les humains puissent faire la même chose.
Nos rêves sont la réalité pour les djinns. Si un djinn vient dans notre rêve, nous sommes dans son monde. Les réalités de son monde s’appliquent alors à nous. Il devient alors possible d’évoluer spirituellement comme un djinn. La condition est de le vouloir. Donc avoir une telle soif de se rapprocher d’Allah et de débarrasser son cœur de toute autre chose qu’on l’exprime dans son rêve. Si ce n’est pas un djinn qui vient dans ton rêve, c’est à toi d’aller dans leur monde ou de prier Allah que cela puisse se faire.
C’est les rêves d’un frère qui ont permis de comprendre cela par la grâce d’Allah. Les voici.
Je suis chez une famille africaine. Abderraouf fait daâwa au père de famille et lui dit qu’il faut qu’il fasse la salat et qu’il amène sa femme et ses enfants dans le din. Le père de famille est touché par ses paroles, il a honte de son laxisme et baisse la tête. Pendant ce temps, soucieux que ces gens soient pleinement concentrés et touchés par les paroles d’Abderaouf je devance leurs besoins en leur servant à boire et à manger ou en nettoyant ce qu’ils font tomber. Voyant que c’est l’heure de la salat je me retire dans une des chambres. Là, je vois un africain que je connais.Au Sénégal, il vivait très bien mais il en a voulu plus. Il est venu en France mais ses ambitions ont échoué et plutôt que de rentrer chez lui un peu honteux il préfère rester ici et espère toujours qu’il va trouver une française qui va l’épouser, lui faire ses papiers, lui trouver un bon travail et qu’il pourra rentrer chez lui la tête haute. Il a été à l’ école coranique pas mal de temps et donc quoi que je lui dise il me fait toujours comprendre poliment que je suis plus jeune que lui (il a 40 ans) et que je suis un converti et qu’il n’a donc pas de conseil à recevoir de ma part. Dans le rêve, il est assis, triste, il réfléchit et déprime en se parlant à lui-mème. Je lui dis faisons la salat, il me dit “non plus tard, j’ai des salat à récupérer.” Là j’installe un tapis, et à un moment un élément du décor me fait me rendre compte que je suis dans un rêve. Là, je me dis “Cool, je vais pouvoir faire tout ce que je veux”. Je me concentre, et dès que je pense à quelque chose ça arrive devant moi. J’imagine alors une Ferrari jaune dernier modèle et elle vient en bas de la maison. J’imagine une superbe villa de luxe avec piscine et là une route se construit jusqu’à la villa et la villa elle même se construit. A ce moment, je vais pour sauter du balcon et monter dans la voiture, mais je me rappelle que j’allais faire la salat et je me dis qu’entre la jouissance de ces biens matériels et la jouissance de la salat, il n’y a pas de comparaison. Sans dire un mot, je regarde le frère avec compassion et lui tends les clés de la voiture et de la villa et je les lui donne. Là, les larmes aux yeux il ne me remercie pas mais son regard en dit long de gratitude. Il saute de joie et s’en va en Ferrari. Là je me mets sur le tapis et quand je fais mon takbir, je prends en pleine face une puissante vague de lumière qui augmente à chaque verset de la Fatiha. Au 3eme verset de la Fatiha, je me réveille et remercie Allah de m’avoir accordé cette vision.
PS= depuis plusieurs mois avant ce rêve, à cause (ou grâce) à une épreuve qui m’a atteint j’ai retrouvé un puissant degré d’intensité lors de mes salats. Parfois tellement ma concentration était intense je ressentai des émotions inexprimables avec des mots humains. cela se manifestait par une fraîcheur intense même lors de journées très chaudes, la chair de poule sur tout le corps et une absence, comme si mon âme voyageait. Enfin au salam final je rouvre les yeux et c’est comme si je revenais d’un sommeil léger et réparateur.
Depuis mes débuts dans l’islam et même avant j’ai toujours ressenti la prière ou la douâa comme un moment d’intimité avec Allah. Moment de grâce qui ne peut etre que sincère, respectueux et je ne considère pas mes 5 salats comme une obligation mais comme un honneur. En 2004, je suis tombé gravement malade et il m’est arrivé de pleurer quand je priais allongé car je considérais ça comme une punition de ne plus pouvoir me prosterner. J’ai également pleuré la première fois que j’ai pu me prosterner à nouveau.
Un grand nombre de frères (même ayant un degré avancé dans le din) se confient à moi quant à leurs manque de concentration dans la salat, les pensées parasites, les waswass de chaytan et autres. Je n’ai que 3 conseils que je répète à qui veut bien l’entendre:
1= apprendre continuellement du Coran pour avoir des versets apropriés à chaque situation de manière à bien ressentir les paroles qui correspondent à l’émotion du moment.
2= profiter des épreuves, des bienfaits, des besoins et autres pour s’en remettre à Allah et augmenter l’intensité de ses soujouds, de ses douâas et des versets récités.
Je marche dans la rue, une superbe femme africaine vient me voir puis me dit qu’elle est amoureuse de moi et qu’elle veut me connaître; pour me plaire elle a fouillé dans mon coeur et vu que j’aimais les belles femmes africaines. Elle a donc pris cette forme, mais sinon elle me dit qu’elle est très moche. Je lui dis que je ne peux pas avoir de relation avec elle car je suis marié et je lui demande comment elle m’a connu. Elle répond que je venais de faire une bonne action et tout mon corps était lumière et j’étais beau. « Ah bon, je lui dis mais comment ça tout de lumière ? » Elle me dit « Si tu veux je te montre ». Alors elle me dit « pose une main sur mon coeur et une main sur mon front » et elle pose une main sur mon coeur et une main sur mon front. Alors j’entre dans le monde des djinns et je vois comme eux ils voient, et c’est comme si j’étais moi-même un djinn. Je la vois toute noire et grise tandis que mes mains sont lumineuses. Impressionné, j’enlève mes mains et elle rigole et me dit « alors tu as vu ? » Je lui dis « oui, montre-moi encore ». Je repose mes mains et rentre à nouveau dans leur monde, je regarde mon corps et il est tout de lumière mais la partie des ablutions diffuse une lumière impressionnante; je regarde autour et voit un bel homme en costume mais il est tout noir et à coté il y a un africain qui balaye la rue et il est tout lumineux surtout son visage. Après ça je me réveille et remercie Allah pour cette vision.
Depuis, j’ai une perception accrue des actes qui apportent une lumière ou des ténèbres, ma “Farassa” s’est accrue et je ressens mieux l’énergie que dégagent chaque objet, animal, plante, etre humain ou djinns: Energie chaude ou froide, attirante ou repoussante, ténèbreuse ou lumineuse. A chaque fois qu’un humain dit un gros mot, fais de la médisance ou s’énerve, je sens son énergie changer et s’assombrir et son visage s’enlaidir (le phénomène s’accroît surtout lors de la médisance). A l’inverse quand quelqu’un fait du bien, c’est comme si je voyais ses péchés s’envoler et comme si une saleté qui s’accumule au cours de la journée à cause de son contact avec la donya se dissipait de sa personne. Les actes qui amènent le plus de lumière, sont le dévouement, le pardon et la Salat du matin à la mosque (je ne peux pas l’expliquer mais je ressens une énergie particulière le matin à la mosquée, énergie que je ne ressens pas lors des autres Salat en commun) et je ressens moi-mème une paix intérieure lors de toute ma journée quand je prie le matin à la mosquée.
Je pourrais également dire que ça a renforcé ma certitude sur le monde des djinns, mais à cause (ou grâce) aux épreuves qui m’ont atteint, j’ai déja la certitude sur le monde des djinns et sur son interconnexion avec notre monde.
Nous avons vu que les djinns peuvent augmenter leur foi instantanément, sortir toutes mauvaises choses du cœur comme l’orgueil ou l’amour des créatures. Nous avons trouvé par la grâce d’Alah un premier moyen pour que les humains puissent faire la même chose.
Nos rêves sont la réalité pour les djinns. Si un djinn vient dans notre rêve, nous sommes dans son monde. Les réalités de son monde s’appliquent alors à nous. Il devient alors possible d’évoluer spirituellement comme un djinn. La condition est de le vouloir. Donc avoir une telle soif de se rapprocher d’Allah et de débarrasser son cœur de toute autre chose qu’on l’exprime dans son rêve. Si ce n’est pas un djinn qui vient dans ton rêve, c’est à toi d’aller dans leur monde ou de prier Allah que cela puisse se faire.
C’est les rêves d’un frère qui ont permis de comprendre cela par la grâce d’Allah. Les voici.
Je suis chez une famille africaine. Abderraouf fait daâwa au père de famille et lui dit qu’il faut qu’il fasse la salat et qu’il amène sa femme et ses enfants dans le din. Le père de famille est touché par ses paroles, il a honte de son laxisme et baisse la tête. Pendant ce temps, soucieux que ces gens soient pleinement concentrés et touchés par les paroles d’Abderaouf je devance leurs besoins en leur servant à boire et à manger ou en nettoyant ce qu’ils font tomber. Voyant que c’est l’heure de la salat je me retire dans une des chambres. Là, je vois un africain que je connais.Au Sénégal, il vivait très bien mais il en a voulu plus. Il est venu en France mais ses ambitions ont échoué et plutôt que de rentrer chez lui un peu honteux il préfère rester ici et espère toujours qu’il va trouver une française qui va l’épouser, lui faire ses papiers, lui trouver un bon travail et qu’il pourra rentrer chez lui la tête haute. Il a été à l’ école coranique pas mal de temps et donc quoi que je lui dise il me fait toujours comprendre poliment que je suis plus jeune que lui (il a 40 ans) et que je suis un converti et qu’il n’a donc pas de conseil à recevoir de ma part. Dans le rêve, il est assis, triste, il réfléchit et déprime en se parlant à lui-mème. Je lui dis faisons la salat, il me dit “non plus tard, j’ai des salat à récupérer.” Là j’installe un tapis, et à un moment un élément du décor me fait me rendre compte que je suis dans un rêve. Là, je me dis “Cool, je vais pouvoir faire tout ce que je veux”. Je me concentre, et dès que je pense à quelque chose ça arrive devant moi. J’imagine alors une Ferrari jaune dernier modèle et elle vient en bas de la maison. J’imagine une superbe villa de luxe avec piscine et là une route se construit jusqu’à la villa et la villa elle même se construit. A ce moment, je vais pour sauter du balcon et monter dans la voiture, mais je me rappelle que j’allais faire la salat et je me dis qu’entre la jouissance de ces biens matériels et la jouissance de la salat, il n’y a pas de comparaison. Sans dire un mot, je regarde le frère avec compassion et lui tends les clés de la voiture et de la villa et je les lui donne. Là, les larmes aux yeux il ne me remercie pas mais son regard en dit long de gratitude. Il saute de joie et s’en va en Ferrari. Là je me mets sur le tapis et quand je fais mon takbir, je prends en pleine face une puissante vague de lumière qui augmente à chaque verset de la Fatiha. Au 3eme verset de la Fatiha, je me réveille et remercie Allah de m’avoir accordé cette vision.
PS= depuis plusieurs mois avant ce rêve, à cause (ou grâce) à une épreuve qui m’a atteint j’ai retrouvé un puissant degré d’intensité lors de mes salats. Parfois tellement ma concentration était intense je ressentai des émotions inexprimables avec des mots humains. cela se manifestait par une fraîcheur intense même lors de journées très chaudes, la chair de poule sur tout le corps et une absence, comme si mon âme voyageait. Enfin au salam final je rouvre les yeux et c’est comme si je revenais d’un sommeil léger et réparateur.
Depuis mes débuts dans l’islam et même avant j’ai toujours ressenti la prière ou la douâa comme un moment d’intimité avec Allah. Moment de grâce qui ne peut etre que sincère, respectueux et je ne considère pas mes 5 salats comme une obligation mais comme un honneur. En 2004, je suis tombé gravement malade et il m’est arrivé de pleurer quand je priais allongé car je considérais ça comme une punition de ne plus pouvoir me prosterner. J’ai également pleuré la première fois que j’ai pu me prosterner à nouveau.
Un grand nombre de frères (même ayant un degré avancé dans le din) se confient à moi quant à leurs manque de concentration dans la salat, les pensées parasites, les waswass de chaytan et autres. Je n’ai que 3 conseils que je répète à qui veut bien l’entendre:
1= apprendre continuellement du Coran pour avoir des versets apropriés à chaque situation de manière à bien ressentir les paroles qui correspondent à l’émotion du moment.
2= profiter des épreuves, des bienfaits, des besoins et autres pour s’en remettre à Allah et augmenter l’intensité de ses soujouds, de ses douâas et des versets récités.
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Je marche dans la rue, une superbe femme africaine vient me voir puis me dit qu’elle est amoureuse de moi et qu’elle veut me connaître; pour me plaire elle a fouillé dans mon coeur et vu que j’aimais les belles femmes africaines. Elle a donc pris cette forme, mais sinon elle me dit qu’elle est très moche. Je lui dis que je ne peux pas avoir de relation avec elle car je suis marié et je lui demande comment elle m’a connu. Elle répond que je venais de faire une bonne action et tout mon corps était lumière et j’étais beau. « Ah bon, je lui dis mais comment ça tout de lumière ? » Elle me dit « Si tu veux je te montre ». Alors elle me dit « pose une main sur mon coeur et une main sur mon front » et elle pose une main sur mon coeur et une main sur mon front. Alors j’entre dans le monde des djinns et je vois comme eux ils voient, et c’est comme si j’étais moi-même un djinn. Je la vois toute noire et grise tandis que mes mains sont lumineuses. Impressionné, j’enlève mes mains et elle rigole et me dit « alors tu as vu ? » Je lui dis « oui, montre-moi encore ». Je repose mes mains et rentre à nouveau dans leur monde, je regarde mon corps et il est tout de lumière mais la partie des ablutions diffuse une lumière impressionnante; je regarde autour et voit un bel homme en costume mais il est tout noir et à coté il y a un africain qui balaye la rue et il est tout lumineux surtout son visage. Après ça je me réveille et remercie Allah pour cette vision.
Depuis, j’ai une perception accrue des actes qui apportent une lumière ou des ténèbres, ma “Farassa” s’est accrue et je ressens mieux l’énergie que dégagent chaque objet, animal, plante, etre humain ou djinns: Energie chaude ou froide, attirante ou repoussante, ténèbreuse ou lumineuse. A chaque fois qu’un humain dit un gros mot, fais de la médisance ou s’énerve, je sens son énergie changer et s’assombrir et son visage s’enlaidir (le phénomène s’accroît surtout lors de la médisance). A l’inverse quand quelqu’un fait du bien, c’est comme si je voyais ses péchés s’envoler et comme si une saleté qui s’accumule au cours de la journée à cause de son contact avec la donya se dissipait de sa personne. Les actes qui amènent le plus de lumière, sont le dévouement, le pardon et la Salat du matin à la mosque (je ne peux pas l’expliquer mais je ressens une énergie particulière le matin à la mosquée, énergie que je ne ressens pas lors des autres Salat en commun) et je ressens moi-mème une paix intérieure lors de toute ma journée quand je prie le matin à la mosquée.
Je pourrais également dire que ça a renforcé ma certitude sur le monde des djinns, mais à cause (ou grâce) aux épreuves qui m’ont atteint, j’ai déja la certitude sur le monde des djinns et sur son interconnexion avec notre monde.
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